LUJIPEKA + 1e partie : Dominique Février
Lujipeka
Spontané et moderne, Lujipeka voit le rap d’une manière libre et participe à la création d’une nouvelle pop décomplexée.
Lujipeka ne s’arrête jamais. Sans attendre la reprise de ses concerts officiels, le jeune rappeur de 24 ans fraîchement émancipé du collectif rennais à succès Columbine a sillonné en van tout l’été les plages de France pour une tournée sauvage, simplement accompagné d’un sound-system, devant des centaines de kids chauffés à blanc par la sortie de son premier EP L.U.J.I et les premiers extraits de son album. Spontané et moderne, son premier album Montagnes Russes est à son image et reflète la liberté avec laquelle il écoute, écrit et compose. Liberté qui le pousse à écouter aussi bien Booba que Justice, Stromae que Nirvana, à remixer Lil Nas X lors d’un freestyle à la radio, ou à collaborer avec les rappeurs Luv Resval et S.Pri Noir aussi bien qu’avec Cerrone, pionnier de la French Touch, qu’il a invité à coproduire avec Junior Alaprod (Damso, PLK, Koba LaD) le galvanisant ‘On ira’.
Cette façon décomplexée de voir le rap lui permet aujourd’hui de participer à la création en France d’une nouvelle pop alternative, comme le font à leur façon ses aînés : d’Orelsan à Post Malone, de Christine & The Queens à Lomepal, de Tyler, The Creator à Vald. S’éloignant des textes kaléidoscopiques de Columbine, Lujipeka s’exprime sans filtre, au plus près de ses émotions, préférant la sincérité aux effets de manche.
1e partie : Dominique Février
Parce que la cuisine est faite avec amour. Parce que cette sauce est déconcertante Parce que le vin a un goût de fin du monde Un rap égocentrique sur la bande originale d’un film catastrophe : Dominique Février au dessus de ta tête, comme un nuage noir qui change la pluie en or.